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Par où commencer ?


Plonger dans le monde de la généalogie n'est pas toujours une tâche simple. 

Vous ne savez pas exactement quelles informations vous souhaitez explorer ? 

Voici un aperçu des nombreuses possibilités qu'offre la généalogie :


Oui, je propose un arbre généalogique dont la forme et le design peuvent être personnalisés selon les attentes du client.

Plusieurs options s’offrent à vous :

  • L’ascendance des femmes (cognatique), des hommes (agnatique) ou les deux donc une recherche complète.
  • La descendance d’un ancêtre, homme ou femme, décédé avant le XXe siècle.

--> Une extension aux branches collatérales (frères, sœurs, oncles, tantes) pour une vision plus complète.

--> Si vous avez déjà commencé votre arbre et avez besoin d’aide, je vous accompagne dans vos recherches. 

Oui tout à fait ! Je retrace le parcours de votre ancêtre.

Je m’appuie sur des documents d'archives qui couvrent l'intégralité de sa vie. Au-delà des événements marquants tels que sa naissance, son mariage et son décès, je m'efforce de mettre en lumière l'impact de ses relations, son environnement familial, son enfance, ses engagements et sa vie de couple. Pour cela, j'exploite une variété de sources, notamment des articles de presse anciens, des registres de population, des dossiers militaires, ainsi que des archives notariales et foncières.

Je m'assure que la présentation soit à la hauteur de vos attentes. C'est pourquoi j'inclus des photographies, une chronologie et des anecdotes qui viendront enrichir cette biographie.

Oui, je maîtrise parfaitement les ressources concernant les archives foncières, tant en Belgique qu'en France. J'ai retracé l'historique d'une maison depuis 1780 jusqu'à aujourd'hui et j'ai également étudié l'évolution urbaine d'un quartier à Anderlecht depuis sa création.

De sa construction à sa rénovation, en passant par ses différents propriétaires, nous retraçons son passé pour mieux comprendre l’environnement des personnes qui y ont vécu. Nous pouvons retracer les déplacements de vos ancêtres à travers les différentes communes où ils ont vécu, en étudiant la composition de leur foyer à chaque étape. 

Grâce aux archives de presse, il est parfois possible de retrouver des articles mentionnant vos ancêtres dans des journaux nationaux, régionaux ou spécialisés. Qu’il s’agisse d’un fait divers, d’une annonce, d’un exploit ou d’un événement marquant, ces découvertes apportent une nouvelle dimension à votre histoire familiale.

Un mariage annoncé qui ne s'est jamais fait, un acte de bravoure, un ancêtre accusé de vol, un accident de la route, un commerce mis en avant, un engagement politique ou associatif, préparez-vous à être surpris par ce que la presse d’autrefois peut révéler sur vos aïeux !

Oui, je propose également ce service.

Aussi appelé odonymie, cette science permet de suivre les changements de nom d’une rue.

Je propose également de suivre les chroniques de son évolution. Il est parfois important de visualiser l’urbanisation d’une rue afin d’en comprendre les changements au fil des siècles. De nombreux outils comme les cartes, les archives foncières, les almanachs et la presse peuvent nous apprendre plus sur le type de voisinage, les commerces successifs, les faits divers et anecdotes ayant pu affecter nos ancêtres.

Tout à fait !

Les ouvrages de Chérin, Hozier, les Dossiers bleus ou encore les annuaires de la noblesse sont des ressources précieuses pour valider et documenter la noblesse de votre lignée : origine du titre, armoiries et généalogie noble.

Au fil des siècles, notamment avant la Révolution française, les nobles devaient faire confirmer leur noblesse par des généalogistes, ce qui leur permettait d'accéder à certains privilèges, tels que l'entrée dans des écoles prestigieuses, des positions militaires élevées, ainsi que des avantages sociaux et fiscaux.

Dans ces cas, une étude approfondie de la famille noble était réalisée sur plusieurs siècles. Cette étude incluait des arbres généalogiques, les raisons d’anoblissement, les faits d’armes, ainsi que les mérites des principaux membres de la branche noble.

Cela vous intéresse-t-il ? Je me charge d'explorer ces différentes sources pour vous révéler l'histoire de votre famille noble.

Oui je propose ce type de recherche.

La Belgique est un pays qui a été le théâtre de nombreuses vagues migratoires tout au long de son histoire.

Cette recherche vise à rassembler toutes les données disponibles concernant l'individu ayant émigré. Les archives de la police des étrangers constituent une ressource inestimable, car elles contiennent plus de 2 millions de dossiers.

Un examen approfondi de l'itinéraire de votre ancêtre en Belgique vous donnera une nouvelle compréhension de son parcours. Le rapport sera agrémenté des documents du rapport de police (photographie, documents, casier judiciaire, lieu de résidence dans le pays, etc).

Il est pertinent de faire appel à un généalogiste dans ce cas puisque reconstituer les correspondances épistolaires demande du temps, et de la patience car il n’est pas toujours facile de déchiffrer les écritures anciennes.

Je vous propose donc de le faire pour vous en identifiant les personnes grâce aux archives afin de lier les récits des lettres avec les grandes lignes de vie des protagonistes.

Cette recherche met en lumière les relations familiales et amicales, révélant les amitiés, les tensions ou les histoires d’amour du passé. Grâce aux adresses, il est possible de suivre les déplacements, les voyages et de replacer ces correspondances dans leur contexte historique, qu’il s’agisse de guerres, d’exils ou de migrations.

Dans certains cas, ces documents permettent d’identifier des membres de la famille qui n’auraient pu être retrouvés uniquement via les archives officielles. Ils témoignent également des émotions et des événements marquants, enrichissant ainsi l’histoire familiale d’anecdotes précieuses.

Après avoir effectué votre test génétique, vous ne savez peut-être pas comment exploiter les résultats notamment la fonctionnalité « correspondances ADN ».

J’offre mes services pour vous accompagner et identifier vos cousins éloignés.

En effet, chaque personne reçoit en moyenne 50 % de ses gènes de ses parents, 25 % de ses grands-parents, 12,5 % de ses arrières-grands-parents, etc. Cela signifie qu'il est possible grâce aux résultats du test d’identifier des cousins éloignés qui partagent des segments d'ADN avec vous.

La première étape consiste à construire votre arbre généalogique. Sur demande, je peux vous aider à réaliser un arbre généalogique ascendant. Une fois que vous avez une bonne vue d'ensemble de votre arbre sur au moins 4 à 5 générations, vous pouvez utiliser les résultats de vos correspondances ADN pour retrouver vos cousins génétiques.

L'objectif sera de reconstruire l'arbre généalogique de votre cousin généalogique jusqu'à identifier l'ancêtre commun qui vous relie.

À quoi ça sert ?

Cela vous permet de prouver scientifiquement l'authenticité de votre arbre généalogique, tout en découvrant des cousins éloignés ou inconnus avec lesquels vous pouvez, si vous le souhaitez, entrer en contact.


J'ai une idée de projet, comment ça marche ? 

Avez-vous identifié le type de recherche pour lequel je peux vous offrir mes services ?

Vous trouverez ci-dessous les informations pratiques pour répondre à vos éventuelles interrogations.

Non, mes compétences sont principalement axées sur trois pays : la Belgique, la France et l'Italie.

Lorsque la recherche s'oriente vers un autre pays en raison des migrations des individus, j'arrête la recherche et peux vous recommander un confrère qui opère dans la zone demandée.

Pour l'Italie, mes investigations se concentrent sur la période de l'état civil à partir de 1866.

Pour la France, il est également envisageable d'examiner, au-delà des frontières nationales, les archives des registres d'état civil qui sont le reflet de l'héritage de la présence coloniale française à l'étranger, englobant trois siècles d'archives. Par exemple, la période de colonisation française en Algérie, au Maroc, en Tunisie, ainsi qu'en Mauritanie, au Sénégal, au Mali, en Guinée, en Côte d'Ivoire, au Burkina Faso, au Niger, au Tchad, au Bénin, au Gabon, au Congo-Brazzaville, en République centrafricaine, à Madagascar, à Djibouti, à Saint-Domingue, en Guadeloupe, en Martinique, en Guyane, en Indochine française, en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, à Wallis-et-Futuna, ainsi qu'au Liban et en Syrie peut être étudiée.

Avant de commencer la recherche et de préparer le devis, je réalise une analyse préliminaire pour déterminer la viabilité de cette recherche en fonction de la zone que mes travaux couvrent.

Tout dépend du lieu mais également du type de documents.

Si le concile de Latran impose la tenue de registres de baptêmes et de mariages par les curés dès 1215, le registre le plus ancien découvert en France est celui de la paroisse de Givry (71), qui recense les mariages de 1336 à 1357 et les sépultures de 1334 à 1348. 

À Bruxelles, le premier document paroissial répertorié est une sépulture datant de 1406 dans la paroisse de Saint Géry. Cependant, pour découvrir les plus anciens baptêmes en Belgique, il faut se référer à la paroisse de Saint-Gudule, où des registres existent depuis 1565, tandis que les premiers mariages y sont enregistrés dès 1482.

Ce n'est qu'avec François Ier et l'ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539 que la tenue de registres de baptême devient obligatoire, et que le français est établi comme langue officielle. Cette exigence sera élargie aux mariages et sépultures en 1579 grâce à l'ordonnance de Blois. 

En conclusion, il devient envisageable de retracer nos ancêtres à partir du XVIe siècle, moment où les registres se font nombreux en France et en Belgique, à condition que ces documents aient été sauvegardés, ce qui n'est pas systématiquement garanti.

En cas de lacunes ou d'absence des registres paroissiaux, il est possible d'élargir et d'enrichir les recherches grâce aux actes notariés. Contrairement aux registres paroissiaux, ces documents sont rédigés par des notaires et possèdent une valeur légale indiscutable. On y trouve des contrats de mariage, des testaments, des ventes, des inventaires de biens, des donations, et divers autres documents qui existent en Europe depuis le XIIe au XIIIe siècle. Ils ont fait leur apparition dans le sud de la France par le biais des pays voisins et des ports provençaux, où les échanges commerciaux nécessitaient une traçabilité juridique des marchandises. Toute comme les registres paroissiaux, ce n'est qu'à partir du XV et XVIe siècle que les actes notariés se sont développés.

Bien qu'il soit souvent relativement aisé de localiser des documents anciens, obtenir des documents récents peut s'avérer plus compliqué. En effet, des délais de communicabilité sont instaurés pour protéger les données sensibles des individus et veiller à leur vie privée.

Ces délais varient en fonction du type de document et du pays concernés.

 

Belgique

France

Italie

Documents relatifs à la sécurité nationale, à la défense ou aux relations extérieures

50 ans

50 ans

50 ans

Documents contenant des informations médicales

100 ans après la clôture des registres

25 ans après le décès ou 120 ans après la naissance

90 ans après la naissance ou 10 ans après le décès

Registres d'état civil (naissances)

100 ans

75 ans

70 ans

Registres d'état civil (mariages)

75 ans

75 ans

70 ans

Registres d'état civil (décès)

75 ans

75 ans

70 ans

Minutes et répertoires des notaires

100 ans

75 ans

70 ans

Remarques : Les délais en Belgique sont définis par la loi du 13 septembre 2023, modifiée par l'arrêté royal du 11 novembre 2024. En France, ces délais sont encadrés par le Code du patrimoine, tandis qu'en Italie, ils sont issus du Code des biens culturels et du paysage. Il convient de noter que ces délais peuvent fluctuer selon les législations en vigueur dans le pays concerné, et que le tableau ci-dessus pourrait ne plus être à jour dans ce contexte.

Pour consulter un acte notarié datant de moins de 100 ans en Belgique, il est nécessaire d'obtenir l'autorisation d'un notaire au nom d'un héritier ou d'un ayant droit. En pratique, les notaires doivent déposer leurs minutes et répertoires aux Archives de l'État lorsque ceux-ci dépassent 75 ans. Les documents de plus de 50 ans mais de moins de 75 ans peuvent également être soumis par les notaires.

Dans premier temps, une prise de contact est nécessaire, par téléphone, par mail ou en présentiel à Bruxelles, afin d’échanger sur votre projet. Cet entretien me permet de recueillir les informations essentielles pour réaliser une étude préalable, qui déterminera la faisabilité de votre recherche ainsi que le nombre d’heures minimum nécessaires à sa réalisation.

  • Si l’étude préalable n’est pas concluante, je vous informe des raisons et des éventuels obstacles rencontrés.
  • Si elle est concluante, je vous adresse un devis détaillé, précisant la nature des recherches à effectuer et une estimation du temps requis. Ce devis est accompagné des documents suivants :
    • Une facture d’acompte (30 % du montant total), dont le règlement est indispensable pour débuter les recherches.
    • Les Conditions Générales de Vente (CGV), précisant les modalités de prestation, les conditions de paiement, les délais et les éventuelles annulations.
    • Un mandat de recherche, m’autorisant à effectuer les démarches en votre nom.

L’ensemble de ces documents doit être complété et retourné pour que les recherches puissent débuter.

Quel est le délai de réponse après la première prise de contact ?

Après l’étude préalable, je m’engage à vous transmettre, sous 7 jours ouvrés, l’ensemble des documents à signer, comprenant le devis, la facture d’acompte, les Conditions Générales de Vente (CGV) et le mandat de recherche.

Quelles sont les obligations d’un généalogiste ?

Il est essentiel de rappeler que le généalogiste est soumis à une obligation de moyens et non de résultats. Le travail généalogique dépend entièrement des sources disponibles, et il n’est donc pas garanti à 100 % que toutes les informations recherchées puissent être trouvées. Certains documents d’archives peuvent être manquants, inaccessibles ou incomplets, ce qui peut influencer les résultats.

Toutefois, je m’engage à mener mes recherches avec rigueur et méthodologie, en exploitant au mieux les ressources accessibles. Si certaines informations ne peuvent être obtenues, je l’indiquerai clairement dans mon rapport en précisant les raisons de cette impossibilité, afin d’assurer une totale transparence avec le client.

Quel est le délai de réalisation ?

Lors de l’envoi du devis, je vous communique une estimation du délai de réalisation, qui peut varier en fonction du type de recherche et de la disponibilité des archives. Certains dépôts d’archives ayant des horaires variables, ces contraintes peuvent influencer les délais.

Dans tous les cas, je m’engage à vous tenir informé de l’évolution des recherches, ainsi que des éventuels imprévus pouvant impacter la date de rendu de l’étude.

La forme du rapport dépend du type d’étude réalisée :

  • Recherche en généalogie familiale : Un arbre généalogique sourcé est fourni au format Gedcom. Sur demande, je peux également transmettre des copies numériques des sources accompagnant l’arbre.
  • Recherche biographique, foncière, historique, presse : Un rapport complet et détaillé est remis au format PDF. Sur demande et en option, il peut être imprimé, relié et envoyé par voie postale.
  • Recherche d’ancêtres nobles : Un arbre généalogique accompagne un rapport détaillé. L’arbre est fourni au format Gedcom, et le rapport en PDF, avec impression et envoi postal en option.
  • Correspondance ADN : Un arbre généalogique accompagne un rapport détaillé, le tout présenté dans un classeur. L’arbre est fourni au format Gedcom et repris dans le rapport en PDF, le coût d'expédition est mentionné dans le devis.
  • Enquête postale et odonymique (rue) : Chronologie détaillée présenté dans un classeur et au format PDF avec transcription d'article. Le coût de l'envoi est précisé lors du devis.

📌 Précisions sur le contenu des dossiers de recherche :

  • Chaque acte est sourcé avec les références des archives et des côtes, garantissant la fiabilité et la traçabilité des recherches.
  • Le format rapport inclut des extraits d’archives particulièrement marquants, que vous pourrez partager avec vos proches.

Pour commencer, les actes de naissance, de mariage et de décès de vos ancêtres les plus anciens peuvent m'aider à identifier les premiers membres de votre arbre généalogique.

Les livrets de famille, les arbres généalogiques et d'autres documents familiaux sont d'excellentes sources pour obtenir des informations de base.

Les correspondances familiales, ainsi que les dossiers de carrière et militaires, peuvent également contenir des informations précieuses sur votre famille.

La durée d’annulation d’une commande est de 14 jours à partir du jour de signature du contrat ou, si ce délai expire normalement un samedi, un dimanche ou un jour férié ou chômé, le premier jour ouvrable suivant.

Un bon d’annulation de commande est fourni avec le contrat.

La recherche des grands-parents et arrière-grands-parents peut être réalisée en quelques semaines, tandis qu'un arbre généalogique complet couvrant 6 à 8 générations peut nécessiter plusieurs mois de travail.

Cela dépend en grande partie de l'accès aux documents, de la profondeur de l'enquête, ainsi que des imprévus qui peuvent survenir.

Il arrive que les informations concernant les parents ne soient pas présentes dans tous les documents, ou que les individus aient déménagé, ce qui complique la recherche. Dans ce cas, le généalogiste doit adapter sa méthode et explorer de nouvelles pistes pour retrouver les ancêtres.

Il est possible, dans certains cas, que des déplacements soient envisagés pour pouvoir avancer dans la recherche. Tous les documents ne sont pas sur Internet et peuvent se trouver dans des dépôts ailleurs en Belgique ou dans d’autres pays.

Lorsqu’un déplacement est nécessaire pour obtenir des informations sur vos ancêtres, je vous informe par téléphone ou par mail des raisons du déplacement et du tarif supplémentaire associé. Ensuite, je vous laisse le choix d’opter pour ce déplacement ou non.